COMPARATEUR DE PORTAGE IMMOBILIER

COMPARATEUR DE PORTAGE IMMOBILIER


COMPARATIF DE PORTAGE IMMOBILIER

Un comparateur d’investisseurs en portage immobilier est un outil qui vous montre, de façon claire et comparable, les solutions où un investisseur achète (ou porte) un bien immobilier à votre place pendant une période donnée, pendant que vous l’occupez via un loyer. À l’échéance, vous pouvez racheter le bien (option) ou sortir du dispositif.

Le comparateur de portage immobilier réunit des offres de foncières, fonds, sociétés de portage ou acteurs spécialisés et les met au même format : décote/prix d’acquisition côté investisseur, loyer et indexation, durée de portage (souvent 24–60 mois), conditions de rachat (formule, pénalités), tickets minimums, types d’actifs acceptés (bureaux, locaux d’activité, commerces), localisation et délais de réalisation.

COMPARATEUR EN LIGNE DE PORTAGE IMMOBILIER

Avec ce comparatif de portage immobilier vous décrivez le bien (adresse, surface, état, estimation de valeur), votre besoin d’occupation (durée, aménagements), vos contraintes de cash et la cible de rachat. Vous chargez les pièces clés (titres, diagnostics, bail ou projet, business plan); le comparateur pré-qualifie votre dossier, sollicite les investisseurs pertinents et affiche une short-list avec des term sheets normalisées (loyer, durée, formule de rachat, frais).

Le rôle pour une start-up : gagner du temps, objectiver le coût total d’usage (loyers + frais + rachat) et comparer aux alternatives (crédit bancaire, crédit-bail immobilier, simple bail commercial, augmentation de capital). Un bon comparateur propose des simulateurs (coût sur la durée, cash libéré, impact sur le runway), une check-list (données, clauses à négocier) et des modèles (LOI, calendrier).

Les points à considérer : la durée (assez longue pour boucler votre plan mais pas au-delà du nécessaire), la formule de rachat (prix fixe, indexé, marge + index), l’indexation du loyer (plafonds/caps), la répartition des travaux/maintenance (qui paie quoi ?), les covenants (reporting, assurances, restrictions), les garanties (dépôt, caution personnelle à éviter/limiter), les frais d’entrée/sortie et le plan de refinancement du rachat (banque, levée, cash-flow).

Les pièges à éviter : accepter une décote trop forte (perte de valeur immédiate), une formule de rachat floue (surprise à l’échéance), des frais cachés (structuration, pénalités), une indexation sans plafond, des cautions personnelles disproportionnées, ou un contrat qui bloque votre flexibilité (sous-location, aménagements).